Producteurs de viande et de lait, nous essuyons actuellement les critiques acerbes des végétariens et des vegans. Nombre de défenseurs engagés de la nature et des animaux sont convaincus que nous devrions nous retirer de la nature et arrêter totalement tout élevage. Mais alors, que deviendraient nos animaux? Et qui s’occuperait de la fertilisation et de la fauche naturelles de nos merveilleuses prairies s’il n’y a plus de vie dans nos montagnes?
Producteurs de viande et de lait, nous essuyons actuellement les critiques acerbes des végétariens et des vegans. Nombre de défenseurs engagés de la nature et des animaux sont convaincus que nous devrions nous retirer de la nature et arrêter totalement tout élevage. Mais alors, que deviendraient nos animaux? Et qui s’occuperait de la fertilisation et de la fauche naturelles de nos merveilleuses prairies s’il n’y a plus de vie dans nos montagnes?
Producteurs de viande et de lait, nous essuyons actuellement les critiques acerbes des végétariens et des vegans. Nombre de défenseurs engagés de la nature et des animaux sont convaincus que nous devrions nous retirer de la nature et arrêter totalement tout élevage. Mais alors, que deviendraient nos animaux? Et qui s’occuperait de la fertilisation et de la fauche naturelles de nos merveilleuses prairies s’il n’y a plus de vie dans nos montagnes?
J’élève mes animaux pour la production de viande. La peau représente à elle seule huit pour cent du poids total. Par animal, ce sont cinq mètres carrés de peau. Imaginez que nous devions les jeter, parce que personne ne veut du cuir … Je ne pourrais jamais faire cela à mes animaux. Sans chaussures en cuir, je n’aurais pas mes animaux. Cela paraît un peu cruel, mais je connais le nom de chacun de mes animaux depuis leur naissance.
Avec l’élevage, nous protégeons l’environnement ! Dans nos prairies, nous devons continuer de cultiver et d’étendre l’économie circulaire traditionnelle. La fertilisation naturelle avec du fumier en fait partie. Le fumier intensifie la couche d’humus du sol qui stocke le carbone et contribue ainsi à la réduction de ce gaz nocif pour le climat.
Avec l’élevage, nous protégeons l’environnement! Dans nos prairies, nous devons continuer de cultiver et d’étendre l’économie circulaire traditionnelle. La fertilisation naturelle avec du fumier en fait partie. Le fumier intensifie la couche d’humus du sol qui stocke le carbone et contribue ainsi à la réduction de ce gaz nocif pour le climat.
Mes bovins ont une belle vie. Grâce à l’exercice, l’alimentation naturelle et la météo parfois capricieuse, le troupeau se compose de véritables « forces de la nature » robustes, très différentes des animaux à haut rendement des plaines. Et nous savons que les animaux des alpages contribuent à la beauté des paysages de montagne. Car sans les vaches, personne ne faucherait les prairies qui abritent pourtant d’innombrables espèces animales et végétales.
Mes bovins ont une belle vie. Grâce à l’exercice, l’alimentation naturelle et la météo parfois capricieuse, le troupeau se compose de véritables « forces de la nature » robustes, très différentes des animaux à haut rendement des plaines. Et nous savons que les animaux des alpages contribuent à la beauté des paysages de montagne. Car sans les vaches, personne ne faucherait les prairies qui abritent pourtant d’innombrables espèces animales et végétales.
Pour nous, fermiers, l’élevage dans les Alpes reste aujourd’hui encore un travail authentique et ardu. C’est pourquoi nous sommes ravis qu’il n’existe aucun substitut équivalent à un cuir bien tanné, fabriqué à partir des peaux de nos animaux et que les amis de la nature convaincus apprécient la qualité de ce matériau authentique et vivant.
Pour nous, fermiers, l’élevage dans les Alpes reste aujourd’hui encore un travail authentique et ardu. C’est pourquoi nous sommes ravis qu’il n’existe aucun substitut équivalent à un cuir bien tanné, fabriqué à partir des peaux de nos animaux et que les amis de la nature convaincus apprécient la qualité de ce matériau authentique et vivant.
Pendant les mois d’hiver, seul un être occupe les chalets d’alpage. Le lutin. La légende raconte qu’il a été condamné à hanter les alpages déserts du Tyrol pendant les hivers rigoureux parce qu’il n’avait pas assez de sollicitude pour les produits des alpages. Nous, les agriculteurs des Alpes, avons toujours respecté les montagnes, nos animaux et nos ressources. Et ceci s’applique également à la peau de nos bovins. Il s’agit en effet d’une matière première indispensable pour la fabrication de chaussures naturelles en cuir.
Pendant les mois d’hiver, seul un être occupe les chalets d’alpage. Le lutin. La légende raconte qu’il a été condamné à hanter les alpages déserts du Tyrol pendant les hivers rigoureux parce qu’il n’avait pas assez de sollicitude pour les produits des alpages. Nous, les agriculteurs des Alpes, avons toujours respecté les montagnes, nos animaux et nos ressources. Et ceci s’applique également à la peau de nos bovins. Il s’agit en effet d’une matière première indispensable pour la fabrication de chaussures naturelles en cuir.
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Nous n’avons qu’une seule planète – c’est pourquoi nous faisons tout pour préserver la santé et la nature : cela implique bien évidemment que le cuir Perwanger ne contient aucune substance nocive.
Nous sommes fiers d’avoir reçu la certification environnementale rigoureuse OEKO-TEX LEATHER STANDARD pour nos cuirs performants.